La chorégraphe-danseuse Lise Dusuel signe avec « Bruit blanc » un éloge de la modération.
Plonger dans une course folle dans laquelle chaque individu poursuit ses objectifs propres et est sommé de prendre position, les interactions humaines manquent parfois de discernement, de contraste, de nuance. En mêlant hip-hop et danse contemporaine et en s’appuyant sur la gestuelle de chacun des interprètes comme véritable vecteur de discussion, cette pièce est l’occasion de revaloriser l’échange comme moteur de ce qui nous lie, de ce qui nous anime.
Collaboratrice des compagnies Chute libre et S’Poart, Lise Dusuel signe avec « Bruit blanc » sa deuxième pièce.
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S’inspirant du mouvement artistique des expressionnistes, ce solo de Gianni Joseph est le premier volet d’un projet protéiforme s’articulant autour de la notion du souvenir, des origines et de ce qui nous construit. Sous forme d’une performance dansée, cette « danse de l’instant » est un recueil intime, une invitation à l’introspection par la danse. Dans cette ode à la libération, le chorégraphe danseur joue avec les notions de chute, de résistance, d’inversion et de gravité. En résulte une matière chorégraphique donnant la parole à l’expressivité des doigts, des mains et des postures dans leurs fragilités.
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Dans le cadre des "Mardis du conservatoire", en coréalisation avec la Scène nationale Le Grand R.
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